Pb récent : Vous devez avoir accepter les cookies fonctionnels pour accéder aux vidéos. Voir politique des cookies tout en bas de page d'accueil
Si vous souhaitez ajouter des commentaires, je vous demande d'être respectueux de la justesse des informations que vous pourriez donner, dans l'esprit du site : transmettre et diffuser.
Bonjour Professeur,
Je me permets de vous écrire alors que vous soulevez de véritables questions, en toute humilité, sur l’immensité de ce qui échappe aux scientifiques et à la science. Vous constatez en particulier, la difficulté de savoir « revenir en arrière » sur des interprétations devenues progressivement des vérités indéboulonnables.
Je vous interpelle donc sur ce débat du XIXè, « clos » selon vous répondant à Idriss Aberkane (1). Débat se concluant sur la « théorie des germes ». Point final !
Il y a pourtant un réel malentendu. En effet, le débat en question ne portait pas sur les « germes » (admis, bien qu’inobservables pour la plupart des scientifiques de l’époque) mais sur la « provenance de ces germes ».
Ce qu’on appelle « germes » dans la théorie de Pasteur, Koch… ne sont autres que les « microzymas » de Béchamp.
Qu’est-ce qui différencie la théorie des germes de la théorie des microzymas alors ?
Repartons de la première cellule d’un organisme animal. Prenons le vitellus à l’origine de l’embryon du poussin - le jaune d’œuf est l’équivalent de l’ovocyte chez la femme - et remontons à son observation particulièrement attentive par le Pr Antoine Béchamp (1816 – 1908)
Je ne vois plus l’œuf de la même façon depuis que je l’observe avec un regard neuf, celui que portait Antoine Béchamp au XIXe siècle.
La description qu’il en fait est poétique mais le scientifique observe et s’interroge :
Thierry Casasnovas m'interroge :
Comment avoir réussi à faire une synthèse aussi concise du travail colossal de Béchamp ?
C'était en mai dernier (2024)
Une nouvelle directrice à l’institut Pasteur depuis janvier 2024, Yasmine Belkaid, apporte un vent nouveau selon les remarques qu’on peut entendre, elle ferait du « pur Béchamp » selon certains (1).
Mais est-ce vraiment du Béchamp, d’avoir compris que nous sommes peuplés d’un microbiote varié, d’une vie interne plurielle ? NON, il manque quelque chose d’essentiel : Quelle est l’origine de cette vie interne ? Béchamp en avait compris l’origine INTERNE, précisément.
Dépasteuriser la science ? Pourquoi pas !
C'est ce que propose le Dr Éric Loridan qui m'a invitée afin que j'apporte des éléments "nouveaux" qui manquent à la connaissance des scientifiques.
Il leur suffirait pourtant d'en prendre connaissance pour retrouver de la cohérence.
Voici un webinaire du 9 mars 2024, présenté aux praticiens IGA (Institut de géobiophysique appliquée) afin de mieux comprendre le rôle essentiel des microzymas dans les organismes vivants.
La vie sur terre est l'acte des ferments de vie à la base de tout organisme vivant.
Puisque tout est fermentation, voici une conférence sur les microzymas (les fameux ferments de vie) en général et la fermentation vineuse en particulier.
Ainsi j'ai présenté la théorie de Béchamp dans le cadre d'un cycle de conférences à "La Rencontre du Vivant ” organisée par l'Association Aquitaine Biodynamie.
Cette présentation a eu lieue le 15 décembre 2023 dans la magnifique "Vieille Chapelle" au château du même nom.
Le magazine Nexus vient de publier un reportage expliquant comment le « virus de la Covid-19 » a été isolé à l’IHU de Marseille.
J’ai écouté, très intéressée, ce reportage dont les commentaires ravis, s’extasient devant un tel travail.
Le voici, régalez-vous de ce que les experts expliquent sur les différentes étapes qu’ils ont respectées :
https://www.youtube.com/watch?v=RtN6lS2DFFA
Je remercie Nexus pour ce reportage, parce que je m’interrogeais sur les procédés et techniques employés. Mais surtout, j’avais relevé en mars 2020 dans une Interview de Didier Raoult à La Provence (1), que les « virus » analysés sur 100 personnes atteintes d’infection respiratoire plutôt grave, ne mettaient absolument pas en évidence le SARS-CoV-2 mais plutôt des « virus endémiques » :
Zeljko TRAILOVIC m'a reçue le 13 novembre 2023, dans son émission "Histoire & Révélations" afin de parler de mon livre :
"Antoine Béchamp : La compréhension du vivant"
édité aux éditions Marco Pietteur où vous pouvez le commander directement :
La voici...
Vous pouvez la télécharger
Un entretien passionnant, au cours duquel les deux intervenants, Béatrice Milbert ,médecin et Philippe Bobola, physicien, rappellent que matière et vibration sont complémentaires et non opposées selon la physique quantique.
La prise en compte de cette complémentarité débouche sur un spectre large d'approches thérapeutiques elles-mêmes complémentaires de la médecine allopathique.
Le 11/9/23, Jérémie Mercier m'a de nouveau invitée afin que je présente mon livre synthèse de la théorie d'Antoine Béchamp.
C'est Jérémie qui m'avait déjà sollicitée à faire une synthèse en novembre 2022. C'était une véritable gageure étant donné l'ampleur de la tâche que j'ai remplie en conscience de l'importance de transmettre ces travaux incontournables.
Le 23/8/2023, j'étais l'invitée du Dr Tal Schaller dans l'émission "La santé çà s'apprend"
Le 1er juillet 2023, j'étais l'invitée de Chloé Frammery à Genève pour parler de mon livre.
Malheureusement l'environnement est très bruyant.
Ce webinaire du 26/6/2023 permet de comprendre en quoi la science a été entraînée sur une mauvaise voie.
Il introduit la théorie d'Antoine Béchamp basée sur les faits scientifiques en suivant une démarche exemplaire et qu'il est grand temps de faire connaître.
Plus d'informations sur ce lien :
Aucun scientifique désormais ne nierait la présence d’un microbiome interne (1) dans les organismes sains, d’éléments vivants dans nos organismes longtemps considérés stériles dans leurs parties purement internes.
Le 27 décembre 1892 (2), lors d’une séance de l’Académie des Sciences, la dernière à laquelle assista Antoine Béchamp, un certain Armand Gautier avouait « malencontreusement » qu’il n’était pas question pour lui, de tenir compte des réflexions de quelqu’un dont il avait été décidé de faire le silence autour de ses travaux.
Proposez à un scientifique de lire les travaux d’Antoine Béchamp, çà lui apporterait un recul, une ouverture et surtout lui permettrait de comprendre qu’Antoine béchamp a compris le vivant comme aucun autre scientifique n’a su le faire. La réaction est systématiquement la même : une fermeture. Le débat est clos quand il n’est pas insultant.
Un scientifique n’est-il pas censé être ouvert, curieux, à l’affût de tout ce qui élargirait son champ d’observation ? Eh bien non, il s’interdit toute déviation d’une ligne fixée par formatage sans aucun doute.
Tout cela est le résultat d’un véritable conditionnement au microbisme, au « pasteurisme », à une désinformation évidente doublée d’une censure réelle.
En effet, qui a entendu parler d’Antoine Béchamp durant ses études ? Personne à ma connaissance. La conclusion vient d’elle-même, si on ne nous en parle pas c’est que cela n’en vaut pas la peine. Tant de chercheurs ont été exclus ainsi sans qu’aucune chance ne leur soit offerte. Le regretté Pierre Lance en a écrit un livre non exhaustif, en quatre tomes « Savants maudits - Chercheurs exclus » ; Que de génies ainsi perdus pour la science.
On ne se contente pas d’ignorer Antoine Béchamp, il faut bien s’assurer que personne ne s’y intéressera. Un peu de désinformation, juste ce qu’il faut, achèvera de freiner les velléités.
Le réflexe est en effet de regarder ce qu’en dit le système, wikipedia donc, en date du 30 octobre 2022 (1), pour trouver de quoi décourager le curieux:
J'étais l'invitée de Jérémie Mercier dans son émission "science en conscience" dont voici le replay :
Vous trouverez un diaporama du support de l'émission, plus détaillé que celui utilisé pour l'émission sur la page consacrée au livre d'Antoine Béchamp.
Le docteur Stefan Lanka a tenté de remonter à la source des "vérités" scientifiques qui ont conduit à la théorie virale.
Il explique dans cet article les manquements et interprétations qui l'ont amené à renoncer à son titre de virologue, remettant en question cette théorie.
Tout scientifique devrait s'interroger sur les bases sur lesquelles il s'appuie.
Antoine Béchamp disait "toujours partir du connu vers l'inconnu", "connu" étant un FAIT démontré et vérifiable.
Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l'université de Caroline du Sud, puis s'est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l'université de Duke.
Des virus aux injections et aux médicaments, ce programme abordera les hypothèses de base qui sous-tendent l'ensemble du récit sur le covid.
Il est interviewé par Urmie Ray.
La traduction est faite par Jeanne Traduction et Urmie Ray.
Vidéo à partir du lien suivant :
La question est essentielle.
Penser que la maladie n'a pas de sens c'est ignorer à quel point la nature est bien faite.
Les Docteurs Olivier Soulier, Judith Rémy et Edouard Broussalian vous font part de leur expérience et de leurs observations dans cette video particulièrement enrichissante de l'émission "parlons santé".
https://www.youtube.com/watch?v=i1RNmmybJqM&t
De quoi s’interroger.
Mais n’est-ce pas la faculté première du scientifique de s’interroger encore et toujours, de chercher à comprendre sans cesse.
Alors franchement, quand on creuse, ce qu’on appelle la science « virologie » - puisque c’est le sujet crucial de nos vies devenues parallèles, instables plus que réelles et bien ancrées depuis qu’un virus est accusé de tous les maux et de toutes les phobies – eh bien oui, quand on creuse, on tombe sur du VENT, oui vraiment.
Cela fait donc un moment que je m’interroge, bien avant cette « crise ».
Cette notion de virus complètement alambiquée, une espèce de fourre tout de matériel génétique retrouvé dans les organismes, des fragments d’ARN, d’ADN simple, double, quadruple brin, décrétés étrangers à ces organismes et pour lesquels il a fallu trouver l’histoire de leur invasion. Histoire franchement fantaisiste qui a été acceptée sans rechignement, apparent en tout cas, parce qu’enseignée comme une vérité, encore une ! Donc admise.
Parce que être scientifique désormais, c’est avoir la « science », c’est à dire connaître ces « vérités » qu’on nous enseigne.
Et qu’apprend-t-on encore à ces « scientifiques », eh bien les méthodes, les techniques parfois sophistiquées pour « cultiver » ces virus, pour les analyser et les reconnaître. C’est magique ! C’est scientifique ! Ainsi convaincus de leur « science », les « scientifiques » appliquent scrupuleusement ces méthodes et techniques et s’émerveillent des résultats obtenus qu’ils interprètent à leur tour. Quelle imagination décidément !
Tout ce questionnement qui me harcèle depuis plusieurs années (1), travaille bien des scientifiques, de ceux qui ont compris que la première question qu’un scientifique doit se poser : est-ce que je pars sur de bonnes bases ? Non pas des « vérités admises », mais des « Faits observés » reproduits et reproductibles.
Donc je suis heureuse de trouver dans ce documentaire sous-titré en français, merci à cv19.fr, et cité entre autre dans la dernière chronique du Pr Marc Henry (2), une analyse de la situation prise avec recul et discernement, de mon point de vue.
Il est plus que temps de faire connaître tous ces points de vue jugés déviants par rapport à la « doxa », aux fameuses vérités admises donc.
J'ai traduit ce livre récent (2020) de Thomas Cowan dont le titre est très parlant, afin de vous faire profiter du recul que ce médecin, scientifique, a su prendre.
J'ai apprécié d'y trouver de nombreuses références que je recherchais.
Le bonus est l'épilogue qui est une véritable leçon de vie.
L'auteur propose dans ce livre une observation des Faits observés durant les épidémies sous un nouvel angle.
La science, petit à petit sortira de l'ornière dans laquelle, elle s'est engouffrée, grâce à ces nouvelles approches.
J'ai pris contact avec son auteur afin de lui faire connaître les travaux d'Antoine Béchamp, qu'il ignore encore, semble-t-il, et qui le confortera (et bien plus encore) inévitablement dans sa démarche.
Vous allez être surpris ! C'est très instructif et enrichissant.
"Les statistiques peuvent être nos meilleures alliées pour comprendre le monde qui nous entoure, comme la plus grande prison intellectuelle au service d’un discours unique."
Pierre Lecot, ingénieur statisticien, effectue un retour en arrière et explique sa démarche, son évolution durant cette "crise".
Sa rigueur de statisticien intègre, le pousse à approfondir les chiffres qui nous sont imposés bruts par les médias depuis 2 ans presque, sans jamais être mis en perspective, aucune, pour nous permettre de les replacer dans leur contexte.
En trois partie, interviewé par Xavier Azalbert (France-soir), Pierre nous explique son cheminement et ses analyses.
En particulier, en rapport avec ce site qui défend la théorie de Béchamp, Pierre constate une absence de propagation des maladies dites "épidémiques" mais plutôt une cause environnementale (vidéo 2).
Cet interview du Dr Valentina Kiseleva nous permet de prendre du recul sur la science "académique" et ses dérives.
Voici un dossier très instructif sur l'intérêt d'utiliser la Vitamine C à haute dose.
Ce dossier a été réalisé à partir des contributions de scientifiques lors du Congrès International de Santé Naturelle de 2017.
Je l'ai récupéré sur le site du Pr André Fougerousse, afin de vous fournir le lien direct.
Bonne lecture
Que vous inspire ce dessin de Patrick représentant la démographie française en 2020 ?
Choquée !
Je suis choquée par ces images dont les promoteurs ont réussi leur effet (1) lors de la présentation de l’émission « l’hôpital retient son souffle ». Intuber une personne est choquant, barbare.
Quand une personne a du mal à respirer, cela provoque en elle un manque d’oxygène, alors on impose par la force cet apport d’oxygène, comme un enfant que l’on force à manger quand il n’a pas faim.
De fait on agit directement sur le symptôme, encore et encore : on prétend aider cette personne à respirer en la faisant respirer de force.
Vous pouvez retrouver toutes les vidéos et diaporamas sur ma chaîne You Tube