De quoi s’interroger.
Mais n’est-ce pas la faculté première du scientifique de s’interroger encore et toujours, de chercher à comprendre sans cesse.
Alors franchement, quand on creuse, ce qu’on appelle la science « virologie » - puisque c’est le sujet crucial de nos vies devenues parallèles, instables plus que réelles et bien ancrées depuis qu’un virus est accusé de tous les maux et de toutes les phobies – eh bien oui, quand on creuse, on tombe sur du VENT, oui vraiment.
Cela fait donc un moment que je m’interroge, bien avant cette « crise ».
Cette notion de virus complètement alambiquée, une espèce de fourre tout de matériel génétique retrouvé dans les organismes, des fragments d’ARN, d’ADN simple, double, quadruple brin, décrétés étrangers à ces organismes et pour lesquels il a fallu trouver l’histoire de leur invasion. Histoire franchement fantaisiste qui a été acceptée sans rechignement, apparent en tout cas, parce qu’enseignée comme une vérité, encore une ! Donc admise.
Parce que être scientifique désormais, c’est avoir la « science », c’est à dire connaître ces « vérités » qu’on nous enseigne.
Et qu’apprend-t-on encore à ces « scientifiques », eh bien les méthodes, les techniques parfois sophistiquées pour « cultiver » ces virus, pour les analyser et les reconnaître. C’est magique ! C’est scientifique ! Ainsi convaincus de leur « science », les « scientifiques » appliquent scrupuleusement ces méthodes et techniques et s’émerveillent des résultats obtenus qu’ils interprètent à leur tour. Quelle imagination décidément !
Tout ce questionnement qui me harcèle depuis plusieurs années (1), travaille bien des scientifiques, de ceux qui ont compris que la première question qu’un scientifique doit se poser : est-ce que je pars sur de bonnes bases ? Non pas des « vérités admises », mais des « Faits observés » reproduits et reproductibles.
Donc je suis heureuse de trouver dans ce documentaire sous-titré en français, merci à cv19.fr, et cité entre autre dans la dernière chronique du Pr Marc Henry (2), une analyse de la situation prise avec recul et discernement, de mon point de vue.
Il est plus que temps de faire connaître tous ces points de vue jugés déviants par rapport à la « doxa », aux fameuses vérités admises donc.
Ce serait intéressant d’avoir le point de vue de « virologues » qui utilisent ces techniques et qui peut être auraient d’autres éléments à nous apporter sur la manière dont ils les utilisent et sur d’éventuelles autres techniques qui pourraient être plus sûres, s’il en est.
Thomas Cowan qui intervient dans ce documentaire, a écrit en 2020 le livre « The contagion myth » dont voici une traduction sur ce lien (3).
(3) https://www.bonnes-habitudes.fr/2021/12/26/le-mythe-de-la-contagion/
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