Comment savoir si nos habitudes sont bonnes ?

Comment prévoir leur impact sur notre santé, sur notre environnement ?

 Louis Claude Vincent a découvert comment mesurer le TERRAIN cher à Antoine Béchamp.

 Grâce à la bioélectronique, il montre scientifiquement :

Comment notre terrain de santé peut se dégénérer,

Comment mesurer et détecter tôt cette dégradation,

Comment, par de bonnes habitudes au quotidienrétablir et maintenir l'équilibre synonyme de santé.


Les actualités récentes :

Lettre ouverte au Pr Didier Raoult

 

Bonjour Professeur,

 

Je me permets de vous écrire alors que vous soulevez de véritables questions, en toute humilité, sur l’immensité de ce qui échappe aux scientifiques et à la science. Vous constatez en particulier, la difficulté de savoir « revenir en arrière » sur des interprétations devenues progressivement des vérités indéboulonnables.

Je vous interpelle donc sur ce débat du XIXè, « clos » selon vous répondant à Idriss Aberkane (1). Débat se concluant sur la « théorie des germes ». Point final ! 

Il y a pourtant un réel malentendu. En effet, le débat en question ne portait pas sur les « germes » (admis, bien qu’inobservables pour la plupart des scientifiques de l’époque) mais sur la « provenance de ces germes ».

Ce qu’on appelle « germes » dans la théorie de Pasteur, Koch… ne sont autres que les « microzymas » de Béchamp. 

 

Qu’est-ce qui différencie la théorie des germes de la théorie des microzymas alors ?

Dans la théorie des germes, nous sommes considérés comme des organismes stériles. Par déduction, tout élément vivant plus petit que la cellule (considérée comme l’élément vital en soi) retrouvé dans nos organismes, est alors considéré étranger, et s’est inévitablement introduit d’une manière ou d’une autre dans l’organisme.  

Depuis Pasteur, au fil des découvertes, on se rend compte que nous sommes remplis de germes (du moins de leurs gènes) décrétés, du coup, « étrangers », sans que jamais on ne démontre cette introduction. 

Nous serions stériles et particulièrement perméables donc.

 

Pourtant il y a une faille dans cette approche ; Pasteur a admis cette asepsie (stérilité) parce que précisément il n’avait pas réussi à observer cette « vie » interne (purement interne, excluant le microbiote intestinal déjà connu à cette époque) et la réfutait. 

Et donc cette vie interne devrait remettre en question le dogme de l’asepsie. 

 

Béchamp avait découvert cette vie interne, à force d’approfondissement, non seulement d’observations, mais d’analyses chimiques, fonctionnelles.

Ce qu’il a compris et qui est expliqué grandement par des expériences reproductibles (2), c’est que non seulement nous ne sommes pas stériles mais « peuplés » de petits ferments, petits ferments vitaux, propres à l’organisme. Il a mis en évidence que ceux-ci sont à l’origine de « tout » dans les organismes vivants (à l’origine des gamètes et seuls présents au tout début du développement de l’embryon), de nos cellules donc, mais aussi de nos « microbes » en particulier lorsque le milieu nécessaire à une fonction n’est plus assuré convenablement, ces éléments devenant morbides.

Les germes de l’air et de l’environnement ne seraient autres que les restes des organismes vivants animaux et végétaux.

 

C’est-à-dire que la cellule ne serait pas l’élément vital en soi, mais une des constructions nécessaires à ces petits ferments vitaux pour réaliser leurs nombreuses fonctions.

 

Pour Antoine Béchamp « tout est une question de milieu ». Cela vous parle, je pense, alors que vous expliquiez l’importance du milieu, au point d’appliquer des « recettes de cuisine » pour réaliser et maintenir une culture lors d’un séminaire (3).

 

J’ajoute que ces petits ferments seraient aussi à l’origine de nos gènes si j’en crois cette publication (4) montrant l’auto-assemblage de l’ADN par des granulations dans le vitellus.

Et pourquoi pas à l’origine des « transposons » et autres « retroposons » peuplant la plus grande partie de notre ADN (5) ?

 

Comprenant que l’élément vital est plus petit que la cellule, on pourrait alors expliquer plus simplement la présence des dites « archéobactéries » responsables de NOTRE métabolisme énergétique comme étant de ces ferments vitaux propres à l’organisme parce que selon l’explication actuelle, nos cellules ne seraient pas capables de réaliser notre propre métabolisme, mais le devrait à des éléments étrangers en symbiose. Cela ne vous choque-t-il pas ? 

Je lisais une publication récente, qui nous parle de « mito-vésicules » alors qu’on découvre que ce métabolisme énergétique peut être produit par des vésicules hors de la cellule (6) et se refusant à remettre en question les dogmes existants on suggère alors que des vésicules extra-cellulaires « transporteraient des mitochondries ». Ne voit-on pas tout simplement de ces petits ferments vitaux en dehors de la cellule, capables de métabolisme encore une fois ?

 

Parce qu’au final les scientifiques trouvent toujours une explication sur la base de leurs dogmes au lieu de les questionner. Aux « vérités » s’ajoutent d’autres « vérités » dans lesquelles la science se perd.

 

Après tout, l’introduction des particules virales dans les organismes vivants n’a jamais vraiment été démontrée. Cette « introduction » est juste une conclusion logique au fait que nous avons été décrétés « stériles », à tort, tout prouve le contraire désormais. 

Ces particules pourraient tout aussi bien être propres à l’organisme duquel elles ont été prélevées, cela expliquerait leur ressemblance avec les exosomes qui sont bien des particules internes dont on n'envisage à aucun moment qu’elles puissent être vivantes malgré les propriétés de plus en plus nombreuses qu’on leur découvre (7). Et ce qu’on appelle « transfert horizontal », ne serait-il pas tout simplement une « ressemblance génétique » fort compréhensive entre organismes se ressemblant. 

 

La théorie de Béchamp s’appelle en réalité la théorie de « l’organisation et de la vie ». Je sais que les « théories » sont des abstractions  et que vous n’en êtes pas fan. Mais vous admettez pourtant la théorie des germes et vous basez dessus pour vos propres interprétations. Pourtant inévitablement, une succession de faits scientifiques conduisent à une théorie tôt ou tard. 

 

J’ai écrit un livre faisant une synthèse, la plus concise possible compte tenu de l’ampleur de ces travaux et qui décrit pas à pas la démarche qu’a suivie Antoine Béchamp dont les expériences nombreuses conduisent effectivement à une théorie dont les scientifiques n’ont aucune idée ou une idée fausse qu’il faut rétablir désormais.

 

Mon éditeur, conscient de l’importance de la démarche, offre la lecture numérique de cette synthèse concise dans un opuscule de 120 pages : « Antoine Béchamp, la compréhension du vivant », parce que c’est bien de cela dont il s’agit. (8)

 

J’espère sincèrement que vous dépasserez vos aprioris et aurez cette curiosité toute scientifique de découvrir ce travail qui pourrait changer totalement votre vision du vivant.

 

Avec tout mon respect

Le 11 octobre 2024

Brigitte Fau 

https://www.bonnes-habitudes.fr/contact/

 

 

(1) https://www.youtube.com/live/elq_tVHg1AQ

(2) Quelques expériences particulièrement parlantes sont décrites dans cet article : https://www.bonnes-habitudes.fr/2024/09/01/un-autre-regard-sur-la-cellule/

(3) https://www.youtube.com/watch?v=KKntxhM6jug 

(4) https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0968432813001017?via%3Dihub

(5) https://www.youtube.com/watch?v=CU8MmIENsnA&t

(6) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35962195/

(7) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=exosomes

(8) livre numérique : https://www.medicatrix.be/wp-content/uploads/2023/05/FAU-Bechamp-Comprehension-Vivant.pdf

livre papier : https://www.editionsmarcopietteur.com/home/354-antoine-bechamp-la-comprehension-du-vivant-9782872111923.html

 

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Un autre regard sur la cellule

Repartons de la première cellule d’un organisme animal. Prenons le vitellus à l’origine de l’embryon du poussin - le jaune d’œuf est l’équivalent de l’ovocyte chez la femme - et remontons à son observation particulièrement attentive par le Pr Antoine Béchamp (1816 – 1908)

Je ne vois plus l’œuf de la même façon depuis que je l’observe avec un regard neuf, celui que portait Antoine Béchamp au XIXe siècle.

La description qu’il en fait est poétique mais le scientifique observe et s’interroge :

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Béchamp c'est la compréhension du Vivant ? Vraiment ?

Thierry Casasnovas m'interroge :

Comment avoir réussi à faire une synthèse aussi concise du travail colossal de Béchamp ?

C'était en mai dernier (2024)


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Entre thèse et antithèse

Une nouvelle directrice à l’institut Pasteur depuis janvier 2024, Yasmine Belkaid, apporte un vent nouveau selon les remarques qu’on peut entendre, elle ferait du « pur Béchamp » selon certains (1).

Mais est-ce vraiment du Béchamp, d’avoir compris que nous sommes peuplés d’un microbiote varié, d’une vie interne plurielle ? NON, il manque quelque chose d’essentiel : Quelle est l’origine de cette vie interne ? Béchamp en avait compris l’origine INTERNE, précisément.

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Dépasteuriser la science ?

Dépasteuriser la science ? Pourquoi pas ! 

C'est ce que propose le Dr Éric Loridan qui m'a invitée afin que j'apporte des éléments "nouveaux" qui manquent à la connaissance des scientifiques.

Il leur suffirait pourtant d'en prendre connaissance pour retrouver de la cohérence.

 


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Que sont les microzymas ?

Voici un webinaire du 9 mars 2024, présenté aux praticiens IGA (Institut de géobiophysique appliquée) afin de mieux comprendre le rôle essentiel des microzymas dans les organismes vivants.


Microzymas et fermentation vineuse

La vie sur terre est l'acte des ferments de vie à la base de tout organisme vivant.

Puisque tout est fermentation, voici une conférence sur les microzymas (les fameux ferments de vie) en général et la fermentation vineuse en particulier.

Ainsi j'ai présenté la théorie de Béchamp dans le cadre d'un cycle de conférences à "La Rencontre du Vivant ” organisée par l'Association Aquitaine Biodynamie.

Cette présentation a eu lieue le 15 décembre 2023 dans la magnifique "Vieille Chapelle" au château du même nom.


Isolation vraiment ? Mais de quoi au juste ?

Le magazine Nexus vient de publier un reportage expliquant comment le « virus de la Covid-19 » a été isolé à l’IHU de Marseille.

J’ai écouté, très intéressée, ce reportage dont les commentaires ravis, s’extasient devant un tel travail.

Le voici, régalez-vous de ce que les experts expliquent sur les différentes étapes qu’ils ont respectées :

 

https://www.youtube.com/watch?v=RtN6lS2DFFA

 

Je remercie Nexus pour ce reportage, parce que je m’interrogeais sur les procédés et techniques employés. Mais surtout, j’avais relevé en mars 2020 dans une Interview de Didier Raoult à La Provence (1), que les « virus » analysés sur 100 personnes atteintes d’infection respiratoire plutôt grave, ne mettaient absolument pas en évidence le SARS-CoV-2 mais plutôt des « virus endémiques » :

 

Pr Didier Raoult : « À Marseille, nous avons diagnostiqué 120 cas positifs, il y avait deux morts de plus de 87 ans. Ils mourraient aussi l'année dernière. Sur 100 prélèvements de gens qui ont une infection respiratoire, ce sont plutôt des cas graves, quand on teste 20 virus et 8 bactéries, il y en 50 % dont on ne sait pas ce qu'ils ont, c'est notre grande ignorance. Pour tous les autres, il y a 19 virus saisonniers, qui tuent aussi. Les coronavirus endémiques tuent plus ici que le chinois. Je confronte en permanence les causes de mortalité dans toute la région à cette espèce de soufflet anxiogène qui monte : pour l'instant, on a plus de chance de mourir d'autres choses que du Covid-19. Le grand âge, les comorbidités et la prise en charge tardive sont des facteurs de mortalité. C'est peut-être inentendable, mais c'est la réalité. La seule chose qui m'intéresse sont les datas, les données brutes. Les données vont rester, les opinions, elles, changent... Je ne dis pas l'avenir, mais je ne suis absolument pas terrifié. »

 

Comment se fait-il, qu’à partir du moment où l’IHU a reçu le modèle génétique de référence, il arrive à « reconstituer » ce modèle ?

Il s’agit bien de reconstitution à partir de machines « sophistiquées ». La machine recolle les morceaux grâce à des recouvrements identiques de fragments.

On peut imaginer des pièces de plusieurs puzzles mélangés, les pièces sont emboitées comme par magie prenant la forme « attendue », parce que, sur quel critère pourrait-on les relier ? Sur quelle logique ? Il s’agit bien d’une logique informatique, mais est-ce la réalité ?

La reconstitution d’un gène à partir de fragments multiples ne comporte-t-elle pas un risque d’interprétation par le logiciel qui fournit au plus près ce qu’on attend de lui.

Que donneraient donc des analyses en aveugle de plusieurs échantillons témoin (sain, asymptomatique, malade d’une autre maladie) comparés à l’échantillon du malade ?

 

Mais avant tout, on a isolé, à partir de l’échantillon prélevé sur un malade, des particules inférieures à 200 nm en les filtrant.

Les scientifiques connaissent les exosomes dans ces dimensions qui doivent être dans les mêmes gradiants de densité.

Sur quelques rares photos au microscope électronique (ME) dont on ne sait pas si la technique de fixation (d’éventuelle coloration, coloration négative) est la même, on pourrait donc arriver à distinguer les exosomes des virus.

Ce serait aussi simple que cela ? Parce qu’il y a forcément des exosomes dans l’échantillon prélevé sur le malade.

Pourquoi l’ingénieur du laboratoire en ME insiste sur le fait que çà ne peut pas être des exosomes ?

Que sont les exosomes ?

On trouve, à l’intérieur des organismes vivants, des exosomes ou vésicules extracellulaires (VE) auxquels on découvre de plus en plus de propriétés :

« Les exosomes sont des vésicules extracellulaires de taille nanométrique sécrétées par les fluides corporels et sont connus pour représenter les caractéristiques des cellules qui les sécrètent. Le contenu et la morphologie des vésicules sécrétées reflètent le comportement cellulaire ou l'état physiologique, par exemple la croissance, la migration, le clivage et la mort des cellules. Le rôle des exosomes peut dépendre fortement de leur taille, et la taille des exosomes varie de 30 à 300 nm » (2)

 

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Etude scientifique française sur le jeûne

Les études scientifiques sur le jeûne sont si rares en France que cela mérite d'être souligné.
Cette étude très récente a été menée en partie par une équipe du CNRS dirigée par Jean Marc Sabatier.
Son titre est parlant : "Découvrir les bénéfices du jeûne ..."
"...le jeûne a montré des effets prometteurs dans l'amélioration des marqueurs de la santé cardiovasculaire tels que la pression artérielle, les niveaux de cholestérol et les niveaux de triglycérides. En outre, il a été suggéré que le jeûne améliore la sensibilité à l'insuline, favorise la perte de poids et améliore la santé métabolique, offrant ainsi des avantages potentiels aux personnes souffrant de diabète et de troubles métaboliques. En outre, le jeûne peut renforcer la fonction immunitaire, réduire l'inflammation, améliorer l'autophagie et soutenir la défense de l'organisme contre les infections, le cancer et les maladies auto-immunes. Le jeûne a également démontré un effet positif sur le cerveau et le système nerveux. Il a été associé à des propriétés neuro-protectrices, améliorant les fonctions cognitives et réduisant le risque de maladies neurodégénératives, en plus de la capacité d'augmenter la durée de vie..."

 

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38018193/

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Découvrir les bénéfices du jeûne :
Vous pouvez téléchargez la publication scientifique en anglais.
Unlocking the Benefits of Fasting.pdf
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Histoire & Révélations sur Béchamp

Zeljko TRAILOVIC m'a reçue le 13 novembre 2023, dans son émission "Histoire & Révélations" afin de parler de mon livre :

"Antoine Béchamp : La compréhension du vivant"

édité aux éditions Marco Pietteur où vous pouvez le commander directement :